29 mai 2013

Des petits nouveaux dans mon caddy




Petites trouvailles lors de mes courses ce soir…

Pour le moment, il faudra se contenter des visuels packs. Les avis arriveront plus tard lors de la dégustation.

Bienvenue dans le monde des Balls :

    • Les croûtons changent de forme pour faire « manger la soupe avec le sourire » Croustille Ball de Tipiak. La présentation en sachet donne envie de les grignoter … sans la soupe. 

 











    • Les Apéro’Cheese d’EntreMont au cumin, tomate/basilic, 5 baies ou bien nature. Le nouveau petit plus pour de belles petites brochettes apéritives ou juste à picorer.



Au royaume du rose, du régressif, de l’envie. Juste pour avoir l’impression de replonger en enfance quelques instants :

    • Mes Guimauves Maison ALSA.  J’ai hâte de les faire … un de mes péchés mignons (affaire à suivre)

    • Un kit de Muffins rose aux morceaux de framboise, cups à muffins inclus. Le pot de présentation donne juste envie de le conserver intact, mais il va bientôt être sacrifié pour j’espère le plus grand plaisir de nos palais.



 
Et un petit dernier de chez Lustucru, Céréales Pilaf’. De grandes espérances, la cuisson pilaf en 6min, au lieu de 15-20 habituelles. Peut être un bon compromis, pour les soirs où le temps de préparation du repas se trouvera limité.


Existe en version : forestière, provençale et orientale

à bientôt avec les avis des gourmands

27 mai 2013

Japon et repas insolites, un cliché ? (Billet voyage #1)



J’ai eu la chance d’aller faire un petit tour à Tokyo en ce début d’année. 72h de pure extase pour une accro de produits alimentaires, d'insolite et surtout de culture japonaise.


Le 1er : le plateau repas de JAL (Japan Airlines) sur le Paris/Tokyo. Insolite ? Si vous êtes encore à l’heure française…il s’agit du goûter et il va s’avérer très copieux.


 
Au menu :
·         salade de pâtes et coppa, portion de crudités, camembert et salade de fruits pour le côté française.  
·         Soba et gourde de sauce soja, riz, bœuf et légumes (toujours sauce soja), mais surtout 1ère rencontre avec le Daïkon cuit pour certains.
Tout le reste du voyage est arrosé de thé vert … très éloigné de ce qu’on peut boire en France.


Après la version soft, voici un amuse-bouche plus difficile d’approche. De l’agar agar parsemé d’algues, nappé de mayonnaise. Ce ne fut pas mon premier repas, mais le plus difficile à avaler… sans s’étouffer.


Tentative échouée, après une longue bataille pour attraper un morceau avec les baguettes. Le gobage s’est confirmé laborieux, mais je m’en suis sortie et pour une fois je n’ai pas fini mon assiette… c’est visqueux, froid, salé,… mais n’hésitez pas à tenter votre chance si vous vous trouvez nez à nez un jour.


 Enfin, voici le repas que j’ai préféré lors de mon court séjour : un Donburi de saumon et oursins.  Je n’ai jamais mangé un aussi bon poisson cru et les oursins… une tuerie.
Bon jusque-là, vous allez me dire rien d’original à manger du poisson cru au Japon. Sauf le lieu et l’heure : un lieu magique, le marché aux poissons de Tsukiji, à 6h du matin… Quand est ce que j’y retourne… les sashimis et autres poissons crus français ne leur arrivent pas à la cheville…même quand on a la chance d’avoir un pêcheur  de dorade à la maison.


Il est l’heure de quitter le pays du Soleil Levant … en pleine nuit. Décollage à 1h du matin pour une arrivée à Paris à 6h du matin, donc petit déjeuner vers 3h (heure française) et quel petit dej : un adieu au Japon. En fait il y avait 2 versions une plutôt japonaise et l’autre plus occidentale… J’ai opté pour la 1ère :


·         Un mochi
·         Une mandarine
·         Une salade de surimi et bardane japonaise avec des œufs de poissons
·         Du riz salé avec des herbes Shiso, pour un bel effet rose/violet
·         Du daïkon à la sauce Miso, de la fougère et légumes sautés, du chou chinois en soupe et du poisson grillé.


Le parfait petit déj pour clore ce superbe voyage. Les croissants et pains au chocolat étaient aussi appréciables à notre retour sur le sol français.

Petit avant-goût des délices japonais auxquels j’ai eu la chance de goûter. A bientôt pour la suite.

25 mai 2013

Les burgers, … ou la recherche d’un certain Graal


Le déclic pour cette quête a eu lieu après un séjour à New York, l’année dernière. La révélation, la découverte de vrais burgers, que ce soit dans des Diners, Fast Food ou bien Pub.
Je prévois d’ailleurs un article sur mon périple newyorkais car il y a tant de choses à partager.
Un Fast-food a été une réelle bonne surprise : Johnny Rockets. Un burger fondant, moelleux, une explosion de saveurs en bouche.
Sans compter les accompagnements aussi divers que bons : coleslaw et frites de patates douces…

Ces frites un vrai régal, proposées partout là-bas et tellement difficile à trouver chez nous. Il faut nous rabattre sur une fabrication maison quand l’envie de ce souvenir nous revient…

La recette, couramment réalisée à la maison :
2 grosses patates douces taillées finement
1 blanc d’œufs battu avec une pincée de gingembre moulu, muscade, poivre
Cuisson : 5 min à la friteuse ou 25 min au four.

Pour ma poursuite du Graal, déjà 4 tentatives d’amélioration, en suivant des recettes de livres de cuisine, de blogs culinaires,… plus une petite touche de connaissances du monde du pain.

Mes premiers buns : de vrais ballons. Les burgers étaient bons surtout grâce à la garniture : haché de canard, Champignons. Les pains bourratifs, il est loin le fondant…


La tentative n°2 : un changement de recette et surtout de technique. 2 pousses sont réalisées au lieu d’une comme pour le 1er test. Je laisse la pâte levée pendant 1h puis je forme les buns et rebelote çà pousse pendant 1h.
C’est mieux mais il manque quelque chose, c’est toujours pas ça...

A la troisième tentative, le but est pratiquement atteint, ouf. Du moelleux, une sorte d’éponge au toucher, une bonne élasticité et le fondant, il est là. Le bun est léger à souhait.

ET pour la dernière réalisation, il y avait en plus le summum de la garniture : un haché de veau,  des légumes finement coupé et du gorgonzola au mascarpone (recette provenant d’un livre Marabout).

Le summum ... pour le moment

Pour 4 Buns  (assez gros en comparatif de ceux trouvés dans le commerce) :
  
   250g de farine (préférée une farine un peu « haut de gamme » pour plus de tenue)
   1 sachet de levure déshydratée pour machine à pain.
   5g de sel
   20g de sucre
   40ml d’eau tiède
   90ml de lait écrémé à température ambiante
   1 œuf
   15g de beurre ramolli
  Dorure : jaune d’œuf, lait et graines (sésame, pavot, …) en fonction des recettes de garniture.

Possibilité de réaliser la recette à la main mais un meilleur développement des buns est obtenu avec un robot muni d’un crochet. (machine à pain pas testée pour cette recette)
Mélanger la levure avec l’eau tiède, laisser reposer 5/10min.
Dans la cuve du batteur, placer : la farine, le sel, le sucre. Faire un puit.
Dans un autre contenant, mélanger : eau/levure, lait et œuf battu.
Mettre le batteur en route et verser au fur et à mesure les liquides.
Une fois la préparation homogène, incorporer le beurre.
Pétrir environ 10min pour obtenir une boule de pâte bien lisse et elastique, enroulée autour du crochet.

Avec une corne sortir la pâte de la cuve.
Fariner la cuve bien raclée et y remettre la boule de pâte. Poser un torchon ou un film et laisser reposer min 1h30. La pâte doit doubler de volume.

Placer un film de cuisson sur 1 plaque de cuisson.
Fariner votre plan de travail ou une planche. Déposer la pâte et la séparer en 4 pâtons (environ 120g)
Travailler les pâtons en les « boulant ».
Déposer les sur la plaque et couvrir avec un torchon de nouveau 1h30 (attention, çà va s’étaler)

Préchauffer le four à 200°C avant la fin de la 2ème pousse.
Dorer les buns et enfourner 15min.

Astuce : pour savoir si les buns sont cuits à l’intérieur. Retournez un bun, Faites « Toc toc », çà doit sonner creux.

Bon appétit.





24 mai 2013

La crêpe version Japonaise .... Kawaii



Petite découverte culinaire, il y a quelques temps à Paris, puis dans sa version purement nipponne dans le quartier d’Harajuku à Tokyo.

une entrée du quartier HARAJUKU à Tokyo

 
Même principe qu’une crêpe bretonne, mais en beaucoup plus gourmande et surtout Kawaii !! Là je fais me faire traiter d’hérétique.
Le principe d’une crêperie japonaise, comme toute autre échoppe culinaire au Japon, les recettes proposées (la carte) sont des maquettes en résine. On choisit donc sur un visuel.
Pour le nom, même au Japon, on parle de CREPES

Pour la crêpe, généralement une base au froment, un peu plus épaisse que notre crêpe (bretonne) et surtout des ingrédients plus riches. Beaucoup de chantilly, des fruits, des bonbons, des barres chocolatées, des morceaux de gâteaux,….
La présentation : un cornet à manger tout en se promenant. Pas de places assises, ou très peu, dans les boutiques.


Pour accéder à ce petit plaisir, plus près de chez nous, rendez-vous à PrincessCrepe, dans le quartier du Marais à Paris.

La Carte de PrincessCrepe

Jolie petite échoppe tout de rose et dentelles vêtue, tout comme les serveuses. Très, très Kawaii, de la JPop en musique de fond. Dépaysement garanti.

La crêpe que j’ai testé à Paris : la "Princess Crêpe" avec des morceaux de fraises, framboises et bananes (mauvaise surprise pour une allergique, mais les barrières de la langue sont des fois compliquées), de la glace vanille et des morceaux de gâteau au chocolat. Copieux pour un goûter mais très bonne.

La "Pricess Crêpe" pour une ballade dans Paris

N’hésitez pas s’il vous arrive de passer dans le Marais.